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WLA - FICHE PRESENTATION + LIENS

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FONDA ▬ « i'm as perfect as a goddess »
Arrivée à Brooklyn : 14/03/2010

âge : 31
ϟ JOB : serveuse.
ϟ POST : 569

   
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PRENOM NOMft. célébrité


ÂGE | STATUT CIVIL | EMPLOI | GROUPE
PSEUDO, PRÉNOM › écrire ici.
ÂGE, PAYS › écrire ici.
CRÉDITS › écrire ici le crédit des avatars utilisés.
TYPE DE PERSONNAGE › écrire ici.
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? › écrire ici.
AUTRES, UNE DÉDICACE › écrire ici.
âge, lieu de naissance › écrire ici. origines, nationalité › écrire ici. statut civil, orientation › écrire ici. job, statut financier › écrire ici. statut familial › écrire ici. à la nouvelle orléans depuis › écrire ici.

(one) anecdote, tics, manies. (two) anecdote, tics, manies. (three) anecdote, tics, manies. (four) anecdote, tics, manies. (five) anecdote, tics, manies. (six) anecdote, tics, manies. (seven) anecdote, tics, manies. (eight) anecdote, tics, manies. (nine) anecdote, tics, manies. (ten) anecdote, tics, manies.  
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FONDA ▬ « i'm as perfect as a goddess »
Arrivée à Brooklyn : 14/03/2010

âge : 31
ϟ JOB : serveuse.
ϟ POST : 569

   
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PRÉNOM NOM



(one) anecdote, tics, manies. (two) anecdote, tics, manies. (three) anecdote, tics, manies. (four) anecdote, tics, manies. (five) anecdote, tics, manies. (six) anecdote, tics, manies. (seven) anecdote, tics, manies. (eight) anecdote, tics, manies. (nine) anecdote, tics, manies. (ten) anecdote, tics, manies.  
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YAËL WEISELft. timothée chalamet


24 ANS | « EN COUPLE » | CINÉASTE | STRAIGHT FOWARD
PSEUDO, PRÉNOM › monocle. alias alice.
ÂGE, PAYS › 30 ans, canada.
CRÉDITS › mooncalf.
TYPE DE PERSONNAGE › inventé.
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? › c'était il y a longtemps...
AUTRES, UNE DÉDICACE › jvm.
âge, lieu de naissance › La majorité franchie, il approche de son vingt-quatrième anniversaire, beaucoup trop jeune selon lui, mais des pensées qui reflètent l’âme d’un adulte. Il aimerait tant être plus vieux pour simplement imposer le respect d’autrui face à son travail, mais ça ne l’empêche pas de vivre pleinement sa vie de jeune adulte et de l’utiliser pour montrer cette vision qu’il a de sa génération. origines, nationalité › Américain aux origines juives, il partage son héritage entre grecques, polonais, danois et américain. statut civil, orientation › L’amour, un sentiment qu’il arrive à démontrer dans ses films indépendants, quelque chose qu’on pourrait aisément croire qu’il maîtrise et vit pleinement. Tout cela n’est que du cinéma, Yaël n’a jamais été dans une relation sérieuse qu’il pourrait dire avoir vécu à fond. Il s’investi beaucoup trop dans son art, il en rêve, en mange… Il n’est pas réfractaire à ce sentiment, mais ne cherche rien qui pourrait l’alimenter. C’est en parti pourquoi il fini toujours par dire oui si on lui demande à sortir avec lui. Il joue sur plusieurs fronts sans y mettre de réel attachement, copain de l’un et de l’autre, il est un polygame bisexuel. Une chose qu’il ne cache pas, mais ne tient pas les concernés tellement au courant. Pour lui c’est simplement plus facile ainsi – mais ça c’est bien que pour lui… job, statut financier › Visionnaire, Yaël a toujours regardé le monde à travers une caméra. La lecture d’un roman peut emballer son esprit. La vision d'une toile illuminer son art. La profondeur d'une photo éveiller ses sens. Grandissant dans un milieu artistique, il en est devenu un à son tour. Si sa mère est artiste peintre, que son père est producteur à Broadway, lui c’est l’univers du cinéma qui l’a toujours attiré et c’est un amour réciproque. Seulement, la concurrence est rude, il le sait, mais on commence à vanter ses louanges dans le domaine. Ce n’est pourtant pas assez pour payer le loyer de son appartement. Il accumule plusieurs petits boulots pour arrondir ses fins de mois : promeneur de chiens, sandwich artist chez Subway, serveur au Spotted Cat ou autres petits trucs qu’il parvient à trouver. statut familial › Un père qui ne cesse de voyager entre la Nouvelle-Orléans et New York, une mère voyageant pour suivre ses expositions de plus en plus remarquées au fil des années. Yaël a surtout connu ses meilleurs amis, un rapprochement précieux, lorsqu’il n’était pas avec ses frères ou ses sœurs qui se faisaient garder par leur mamie-papy. Yaël est le quatrième enfant d’une fratrie de cinq, des aînés qui font leur vit, lui qui cherche sa place au sein d’un monde où les jeunes s’expriment davantage et le dernier qui doit sans doute se demander où est sa place dans cette famille. à la nouvelle orléans depuis › Terre de seconde chance, sa famille a longtemps bougée à travers les États-Unis avant de s’installer en Louisiane. Yaël quant à lui y est né, ne l’a jamais vraiment quitté si ce n’est que pour se rendre à des festivals présenter ses films ou partir à l’aventure pour y trouver l’inspiration et y tourner des films.

(one) Famille plutôt aisée, sans être dans l’excès, se fondant dans la masse de gens au revenu modeste. Loin d’afficher leur argent, les parents Weisel ont toujours été quelques peu radins. Refilant les vieux jouets des aînés aux plus jeunes, ainsi que leurs vêtements parfois trop grands. L’argent c’était pour manger, régler les soucis et pour les études. Et si parfois Yaël en avait marre de porter les torchons de ses aînés, il n’a jamais vraiment manqué de quelque chose. Sa famille a toujours été unis, même si par moment leurs parents n’étaient pas présents comme il aurait souhaité, il s’est rapproché de son dziad (grand-père) paternel. (two) Son grand-père paternel a immigré à la seconde guerre mondiale, il est le seul de sa famille à avoir pu échapper au camp de concentration en Pologne. Plutôt jeune, c’est tout de même une expérience qui l’a marqué à vie et cette histoire, il n’a eu de cesse de la raconter à Yaël. Les sensations, des souvenirs à en faire froid dans le dos. Il a rendu fier de ses origines le gamin qui buvait ses paroles, même s’il ne comprenait que peu de mot au tout début. Un anglais mélangé grossièrement à du polonais, il a appris cette langue pour mieux converser avec son dziad. C’est d’ailleurs ce dernier qui lui a offert sa première caméra, une vieille pouvant filmer en 35mm. Il ne l’utilise plus, mais il la possède toujours. (three) C’est en voyant Schindler’s list que son amour pour le cinéma est né. Un film difficile à regarder, un film où il a vu pour la première fois son grand-père pleurer, un film qui lui a donné envie de faire honneur à ses origines. Il n’y a pas de film plus émouvant pour lui, le travail de Spielberg l’a beaucoup influencé dans ses débuts, mais qui s’est finalement développer. Il a son propre style de film, loin de ce qu’on peut voir habituellement. Il véhicule des émotions et c’est souvent ce que les critiques lui accordent, cette facilité pour faire vivre une palette complète d’émotions tout au long de ces films. (four) Pour un film, il fait généralement tout, du scénario à la réalisation, au montage et même qu’il se donne des rôles lorsqu’il trouve cela pertinent. Il travaille dur avec de petit budget, mais il semblerait que cela suffise. Il cherche surtout à faire voir la vie de la société moderne, celle des jeunes de son âge qui grandissent derrière leur parent, qui inculque une toute nouvelle façon de voir et de vivre. (five) Respectant la tradition, Yaël a vécu plusieurs événements reliés au judaïsme ; la brith milah, la 'halaka ainsi que la bar mitzva. Bien que cette religion soit encrée dans sa famille, que ses grands-parents lui ont tout appris, il est bien moins impliqué dans celle depuis le décès de son grand-père. (six) Il a connu ses meilleurs amis, cette bande de pote qui continue de gravité autour de l’un et de l’autre depuis la maternelle. Il perçoit bien l’attraction qu’il a envers Flora, cette jeune fille qui est parvenue à apprivoiser ce gamin aux boucles folles. Elle a ce charme qui rallie les autres, lui-même victime de cette attraction, il la voit comme sa sœur, une jumelle et pourtant ils n’ont pas beaucoup de ressemblance. Cette bande de pote qu’ils ont su se construire au fil du temps, c’est devenu sa famille de choix, aucun lien de sang, mais ce n’est qu’un détail face à tout ce qu’éprouve Yaël pour eux, plus important, plus fort, les gênes n’ont pas leur importance ici. (seven) Il a fait le choix de ne pas aller à l’université, ce qui n’a pas trop plu à ses parents, mais quand on sait qu’il se débrouille plutôt bien sans diplôme universitaire, y’a peut-être aucun mouron à se faire ! Il a quand même commencé des cours pas correspondances, mais ses livres prennent peu à peu la poussière. (eight) En ce moment, Yaël jongle avec deux relations. Une entretenue avec une fille, il l’a connu par le biais d’une amie. Comme toujours, il n’a jamais cherché à aboutir dans cette relation, elle s’est imposée et lui l’a simplement laissé faire sans y mettre de résistance. La seconde est avec un homme plus vieux que lui, c’est physique, à la limite de l’indécence. Quelque chose qui se doit de rester secret et qui amuse le bouclé, parce que dans toute cela, l’un et l’autre ignore qu’ils n’ont pas son cœur, qu’il leur donne ce qu’ils espèrent sans réellement recevoir ce qu’ils désirent. Fourbe, sans nul doute, mais Yaël est ainsi, il joue sur plusieurs fronts tant qu’il ne connaîtra pas l’amour véritable. (nine) Travailleur, Yaël bosse toujours dure, il ne craint pas le boulot, c’est bien une chose qu’on lui a inculqué, si tu veux arriver à quelque chose dans la vie à toi de faire les efforts. Il en fait, peut-être trop d’ailleurs. Travaillant dans plusieurs petits boulots, son temps est chargé, il roule à la caféine et au redbull. C’est à croire que ses veines sont remplies de boissons énergisantes… Ce qui n’est pas tant une mauvaise chose quand on sait son planning, survivre à cet acharnement qu’il a pour ramasser assez d’argent pour bien vivre. (ten) Il vient même de commencer un boulot de serveur au Spotted Cat, des heures de plus à son horaire, moins de temps pour être avec ses potes, mais tant pis. Il a besoin d’argent pour ces films et payer le loyer. Parmi les employés, il y a cette jeune fille, serveuse elle aussi. Son visage lui semble familier, mais il n’arrive tout simplement pas à mettre le doigt sur d’où il le connait.

Fumeur un peu trop abusif, il aime bien se griller une clope au réveil avec son café, pendant qu’il cherche l’inspiration, une fois dehors ou bien simplement pour se détende avant d’aller dormir. Mauvaise habitude qu’il a prit en regardant de vieux films où plus jeune il trouvait une certaine beauté à la cigarette. Toutefois, il est de ceux qui oubli toujours son briquet quelque part et se promène plus souvent avec des allumettes. (+) Un anniversaire un peu trop arrosé, il a perdu le contrôle au point de se faire tatouer. Laissant les dauphins ou les papillons en bas de dos aux autres, il s’est retrouvé avec l’étoile de David. Où ? Au petit matin, il pensait s’être battu, loin de son tempérament, mais sait-on jamais. Fausse alerte, la douleur ne provenant pas d’un coup de poings reçu sur la mâchoire. C’est sur cette chair humide, camouflé entre lèvre et dent qu’on y retrouve ce symbole religieux. S’il a regretté cette action au petit matin, maintenant, il trouve ça plutôt sexy, surtout lorsqu’on lui mord la lèvre et la tire dévoilant ainsi ledit tatouage. (+) Juif, il porte en permanence l’étoile de David à son cou, héritage, croyance, fierté. (+) Sa chambre est un vrai bordel, rempli de papiers chiffonnés, brouillon d’idée. Des livres artistiques, des romans de grands écrivains, des recueils de poésies empilés ici et là, traînant sur des tablettes parmi quelques trophées reçu pour ses films, quelques-uns ajustant un meuble trop bancal à son goût, ou simplement lui servant de table de chevet en tour de Pise. Un ordinateur portable sur son lit toujours en veille où des écouteurs sont branchés en permanence, laissant diffuser des orchestres, musique de film qui ont marqué son existence. Une affiche de Schindler’s list au-dessus d’un bureau couvert de vêtement haut de gamme. Yaël pourrait faire le ménage si ça lui disait, mais son bordel l’aide à trouver son inspiration. (+) Yaël est de ces mecs qui mettent la mode sur un piédestal, il s’assume, affiche sa personnalité à travers des vêtements qui le représente bien dans son humeur de la journée. On le voit très peu porter la même chose deux fois de suite, c’est comme si son placard était un puit sans fin. Il est un bon partenaire de shopping si on accepte les critiques plutôt directes. Si quelque chose ne va pas, il ne se gênera pas pour en faire part, parfois, ça manque de délicatesse, mais au moins ça a le mérite d’être franc. (+) Il fait parti de ces jeunes qui ont toujours le nez collé à leur portable, qui vont voir un show et passe ce temps le nez derrière l’écran pour filmer. Certain pourrait dire qu’il ne prend pas la peine de vivre le moment présent, peut-être, mais Yaël aime voir le monde à travers un écran. Dans son ordinateur, il y a des extraits de vie en tout genre. Ça prend la poussière dans ses dossiers, mais ça possède le pouvoir de lui remonter le moral dans des moments plus pénibles. (+) Loin d’imposer sa religion à autrui, il a appris à cuisiner par lui-même. Quand on vit avec autant de personne ce n’est pas toujours aussi simple, mais puisqu’il mange kasher, il préfère se faire lui-même à manger, même s’il n’a pas un réel espace pour cuisiner comme il le voudrait. Imposer ses choix n’a jamais fait parti de ses principes. Il lui arrive toutefois de déroger au cacherouth, parce qu’il est jeune, qu’il veut vivre ses expériences, profiter de certaine chose et souvent parce qu’il suit ses meilleurs potes et que c’est un calvaire de trouver kasher. (+) Polyglotte, Yaël parle l’anglais – sa langue maternelle, mais aussi le polonais, le français, le yiddish, l’espagnol et connait quelques mots en hébreu. Il comprend le créole, mais ça se limite pas mal à ça. (+) La tequila c’est non ! Une cuite de trop, un matin complètement hangover après avoir largement abusé. Il en a été dégoutté au point que la simple odeur de la tequila lui donne envie de gerber. (+) Il n’a jamais dit les mots « je t’aime » et chaque fois qu’on lui a dit, il a pris la fuite. (+) L’hiver est une saison qui l’exècre, le froid, la neige… Non ce n’est pas fait pour lui, par chance il n’y fait pas trop face, mais la simple idée de se couvrir le fait grincer des dents et on peut l’entendre rouspéter pendant des heures.  
  • CHARISMATIQUE
  • ACERBE
  • CRÉATIF
  • HAUTAIN
  • ATTRACTIF
  • PRÉTENTIEUX
  • CULTIVÉ
  • RÂLEUR




Un lien avec un membre
@"trixie walker" (girlfriend) Cela fait environs un peu plus de six mois que Trixie est la copine de Yaël. Il lui a dit oui lorsqu’elle lui a demandé pour sortir avec elle. Bien qu’il fût déjà en couple, il est tout simplement ainsi. Accumulant les relations pour le côté facile et évitant de rejeter les personnes. Il se berce dans des relations et si son entourage voit cela comme une mauvaise chose, lui il y met du cœur même si le sentiment n’y est pas. L’amour est bien la seule chose qu’il n’offre pas.

Deux recherches de liens
(♂ou♀/his muse) Cette personne, elle l’inspire, le rend créatif. Elle est sa muse et pourtant s’il y a parfois une once de flirt, elle n’est qu’inspiration à ses yeux. Elle guide ses mots sur la page de ses scénarii, elle est le visage qu’il admire derrière sa caméra. Sa beauté, il l’affiche au monde. (à développer avec la personne pour rendre le tout plus personnel)
(♂/first time) Yaël a toujours su qu’il aimait les hommes autant qu’il pouvait se sentir attiré par les femmes. C’est la beauté de l’interdit, la fascination pour un garçon plus vieux qui a mené à la première expérience de ce dernier avec un homme. Sans sentiment, simplement l’envie de répondre à la chair. C’était bon. Ils ne l’ont jamais refait pourtant, distance ou simplement l’occasion qui manquait, ils se sont recroisés quelque fois. Il s’entende bien, mais qui sait peut-être que maintenant ce serait encore meilleur ?

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YAËL WEISEL


Fumeur un peu trop abusif, il aime bien se griller une clope au réveil avec son café, pendant qu’il cherche l’inspiration, une fois dehors ou bien simplement pour se détende avant d’aller dormir. Mauvaise habitude qu’il a prit en regardant de vieux films où plus jeune il trouvait une certaine beauté à la cigarette. Toutefois, il est de ceux qui oubli toujours son briquet quelque part et se promène plus souvent avec des allumettes. (+) Un anniversaire un peu trop arrosé, il a perdu le contrôle au point de se faire tatouer. Laissant les dauphins ou les papillons en bas de dos aux autres, il s’est retrouvé avec l’étoile de David. Où ? Au petit matin, il pensait s’être battu, loin de son tempérament, mais sait-on jamais. Fausse alerte, la douleur ne provenant pas d’un coup de poings reçu sur la mâchoire. C’est sur cette chair humide, camouflé entre lèvre et dent qu’on y retrouve ce symbole religieux. S’il a regretté cette action au petit matin, maintenant, il trouve ça plutôt sexy, surtout lorsqu’on lui mord la lèvre et la tire dévoilant ainsi ledit tatouage. (+) Juif, il porte en permanence l’étoile de David à son cou, héritage, croyance, fierté. (+) Sa chambre est un vrai bordel, rempli de papiers chiffonnés, brouillon d’idée. Des livres artistiques, des romans de grands écrivains, des recueils de poésies empilés ici et là, traînant sur des tablettes parmi quelques trophées reçu pour ses films, quelques-uns ajustant un meuble trop bancal à son goût, ou simplement lui servant de table de chevet en tour de Pise. Un ordinateur portable sur son lit toujours en veille où des écouteurs sont branchés en permanence, laissant diffuser des orchestres, musique de film qui ont marqué son existence. Une affiche de Schindler’s list au-dessus d’un bureau couvert de vêtement haut de gamme. Yaël pourrait faire le ménage si ça lui disait, mais son bordel l’aide à trouver son inspiration. (+) Yaël est de ces mecs qui mettent la mode sur un piédestal, il s’assume, affiche sa personnalité à travers des vêtements qui le représente bien dans son humeur de la journée. On le voit très peu porter la même chose deux fois de suite, c’est comme si son placard était un puit sans fin. Il est un bon partenaire de shopping si on accepte les critiques plutôt directes. Si quelque chose ne va pas, il ne se gênera pas pour en faire part, parfois, ça manque de délicatesse, mais au moins ça a le mérite d’être franc. (+) Il fait parti de ces jeunes qui ont toujours le nez collé à leur portable, qui vont voir un show et passe ce temps le nez derrière l’écran pour filmer. Certain pourrait dire qu’il ne prend pas la peine de vivre le moment présent, peut-être, mais Yaël aime voir le monde à travers un écran. Dans son ordinateur, il y a des extraits de vie en tout genre. Ça prend la poussière dans ses dossiers, mais ça possède le pouvoir de lui remonter le moral dans des moments plus pénibles. (+) Loin d’imposer sa religion à autrui, il a appris à cuisiner par lui-même. Quand on vit avec autant de personne ce n’est pas toujours aussi simple, mais puisqu’il mange kasher, il préfère se faire lui-même à manger, même s’il n’a pas un réel espace pour cuisiner comme il le voudrait. Imposer ses choix n’a jamais fait parti de ses principes. Il lui arrive toutefois de déroger au cacherouth, parce qu’il est jeune, qu’il veut vivre ses expériences, profiter de certaine chose et souvent parce qu’il suit ses meilleurs potes et que c’est un calvaire de trouver kasher. (+) Polyglotte, Yaël parle l’anglais – sa langue maternelle, mais aussi le polonais, le français, le yiddish, l’espagnol et connait quelques mots en hébreu. Il comprend le créole, mais ça se limite pas mal à ça. (+) La tequila c’est non ! Une cuite de trop, un matin complètement hangover après avoir largement abusé. Il en a été dégoutté au point que la simple odeur de la tequila lui donne envie de gerber. (+) Il n’a jamais dit les mots « je t’aime » et chaque fois qu’on lui a dit, il a pris la fuite. (+) L’hiver est une saison qui l’exècre, le froid, la neige… Non ce n’est pas fait pour lui, par chance il n’y fait pas trop face, mais la simple idée de se couvrir le fait grincer des dents et on peut l’entendre rouspéter pendant des heures.  
  • 24 ANS
  • NOUVELLE ORLÉANS
  • AMÉRICAIN
  • EN COUPLE, POLYGAME
  • BISEXUEL
  • CINÉASTE
  • NATIF DE NOLA
  • CHARISMATIQUE
  • ACERBE
  • CRÉATIF
  • HAUTAIN
  • ATTRACTIF
  • PRÉTENTIEUX
  • CULTIVÉ
  • RÂLEUR

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